LES PLANTES MALADES DES PESTICIDES

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Francis Chaboussou, chercheur (atypique !) à l’INRA pendant près de cinquante ans, établit sa théorie, la trophobiose selon laquelle tout parasite ne devient virulent que s’il rencontre dans la plante les éléments nutritionnels qui lui sont nécessaires. Révolutionnaire, car il prouve, dès 1970 et en pleine hégémonie des traitements chimiques, que ces derniers, au contraire des idées émises, contribuent à développer dans la plante ces éléments qui permettent aux champignons, acariens, insectes, virus et autres bactéries d’y proliférer… Visionnaire car, a contrario du credo « moderniste » de cette époque, il démontre également que seule l’agriculture biologique peut assurer l’équilibre écologique interdisant aux parasites latents de devenir nuisibles…

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Description

Collection L’Alternative écologique

Les plantes malades des pesticides

Par Francis Chaboussou

Extrait de la préface de François Veillerette (Générations futures) :

Les effets négatifs des pesticides sur les plantes cultivées peuvent aller nettement au-delà des conséquences d’un bouleversement des écosystèmes. Francis Chaboussou (qui fut directeur de recherche et directeur de station de l’INRA) démontre ici, et ce fut une première, que c’est la physiologie même de la plante cultivée qui est perturbée par les pesticides, la rendant plus vulnérable aux agresseurs. Il montre que le recours massif aux pesticides crée des fragilités chez les plantes… qui vont conduire à augmenter encore plus l’usage de ces toxiques pour tenter de réduire les nouveaux dégâts causés par cette fragilité.

On a ici la meilleure illustration possible du véritable cercle vicieux dans lequel nous a conduit l’agriculture intensive depuis 60 ans, s’appuyant, pour tenter de pallier les déséquilibres qu’elle engendre inévitablement, sur la béquille chimique illusoire des pesticides.

Francis Chaboussou, chercheur (atypique !) à l’INRA pendant près de cinquante ans, établit sa théorie, la trophobiose selon laquelle tout parasite ne devient virulent que s’il rencontre dans la plante les éléments nutritionnels qui lui sont nécessaires.

Révolutionnaire, car il prouve, dès 1970 et en pleine hégémonie des traitements chimiques, que ces derniers, au contraire des idées émises, contribuent à développer dans la plante ces éléments qui permettent aux champignons, acariens, insectes, virus et autres bactéries d’y proliférer…

Visionnaire car, a contrario du credo « moderniste » de cette époque, il démontre également que seule l’agriculture biologique peut assurer l’équilibre écologique interdisant aux parasites latents de devenir nuisibles…

ISBN 978-2-86819-932-4

304 p.

Version papier : 21 €

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